Cela dit, de mon coté, j’aime trouver des lieux où je peux me poser quelques heures (je demande évidement à mon arrivée s’il n’y a pas de soucis à ce que je squatte un peu), soit dans un café, la médiathèque de la ville, des gares parfois (voir le mouvement de la foule peut quelques fois donner de l’inspiration). J'en parle dans le post "KDDK". C'est sans compter sur le fait que de plus en plus de lieux publics proposent le wifi. Que demande le peuple?
Lorsque je suis sur la route, à l’étranger, trouver un cyber base, ou cyber café est souvent facile, et cela où que je me trouve (bien que je n’ai réellement besoin du net que lors d’envoies de posts ou de mises à jours de sites). Beaucoup de restaurants et d’hotel, même de moyennes classes, proposent le wifi (connections aléatoires cependant… attention).
Concernant le bureau où je m’installe avec mon ordi, ou mes cahiers et crayons, est lui, plus facile à trouver… ce peut être n’importe où où je me trouve bien.
Il arrive même que le confort passe en second plan: assis sur un rocher (aie les fesses) mais au dessus d’une chute d’eau, comme il m’est arrivé de le faire aux Lumengwe Falls; ou à Iskcon Temple, à Bombay; et même à mon bureau « officiel » pendant trois mois sur les plages de Zanzibar, au RaskajiBang.
Vous voyez, on peut vraiment trouver un espace de travail, partagé ou non, quasi n’importe où sur la planète.
De plus, il existe maintenant des particuliers qui nous proposent de profiter de leur lieu de vie pour travailler, on appelle cela le "co-home working". Ils peuvent demander une petite contribution: financière, de travail ou tout autre échange. A voir directement avec eux.
En tout cas, le maitre mot devient: mu-tu-a-li-sons!
Ah oui, aujourd'hui on dit "u-be-ri-sons!" ;-)