Pour passer à la seconde partie, citons H.H.Dalai Lama :
« Prier et méditer ne sert à rien si on ne passe pas à l’acte. »
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Carnet Des Positifs
II
— DE LA REFLEXION A LA CREATION —
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On vous présente souvent des explications, des raisons de votre position dans la vie… mais pas de solutions proposées. Avec le Carnet des Positifs, je vous offre un véritable petit manuel d’exercices pour apprendre comment utiliser la force qui est déjà en vous.
Et si aujourd’hui vous êtes à la recherche d’un mieux-être, pour quelque raison que ce soit, c’est que tout ce que vous avez (peut-être) essayé jusque là n’a pas réussi à vous satisfaire.
Deux possibilités se présentent à vous:
- continuer sur la même voie -ne rien changer dans vos habitudes, vos actes…- , dont vous connaissez l’aboutissement: votre état actuel, qui n’est apparemment plus désiré, voir une détérioration de votre santé,
- ou essayer quelque chose de nouveau. Mais essayer VRAIMENT pour créer une nouvelle situation.
Passez du concept à l’action! (ICI, MAINTENANT), car QUAND ON DÉSIRE QQ CHOSE (quoi que ce soit) ON AGIT EN CONSÉQUENCE.
Un point commun être tous les grands entrepreneurs ou personnes qui se trouvent « heureux », qui estiment avoir réussis (dans) leur vie: ils se posent ou se sont posé des questions d’ordre philosophique, spirituel, et ont une vision spécifique de leur vie et de la vie en générale. Une visions positive de l’existence. Ils ont également tous un but qui va avec leurs valeurs.
Ils ont une pratique, des rituels, des points d’ancrage. La méditation (ce terme qui est de plus en plus à la mode, ouf! ça fera moins peur d’en parler) a été pratiquée par Leonard Da Vinci lui-même. Peut-Être employait-il un autre terme mais les techniques de relaxation, « faire le vide » ou encore de visualisation, étaient courantes pour lui.
1
— MISE EN LUMIERE —
Dans l’ordre de toute chose, il y a la connaissance.
La connaissance de cette possibilité que l’on a de nous élever, de produire une meilleure version de nous-même, de vivre la vie avec joie.
Celui qui ne se doute pas de cette possibilité est condamné à subir sa vie, en trouvant ça normal, car « C’est la vie! » dit-on.
Subir sa vie? Alors que chacun est responsable de ses choix? Est-ce vraiment possible…
Tous responsable.
En fait, c’est une très bonne nouvelle, car on passe de statut de victime à celui de créateur de notre vie. Reste à faire les bons choix, et suivre un plan d’actions.
Evidement, beaucoup d’entre nous pourrait dire « c’est bien joli de rêver, mais j’ai … des excuses pour ne pas passer à l’action ». Alors que ceux-là acceptent leurs choix, ce n’est pas donner à tout le monde d’assumer ses actes. Que cette vie soit pleinement acceptée, et que la façon de la vivre se fasse dans la joie -car cela est tout également possible- et dans la conscience de nos décisions.
Pourquoi se laisser aller à avoir du ressentiment envers « nos » choix. C’est du masochisme, non? C’est en quelque sorte se saper le moral que de se dire que ce n’est pas pour nous, que ce ne sont que des rêves, utopies, trop durs à atteindre comme objectifs…
Je me répète :QUAND ON DÉSIRE QUELQUE CHOSE ON AGIT EN CONSÉQUENCE. N’est-ce pas? Ce n’est donc pas un « mauvais coup du sort » si on n’a pas ce que l’on désire quand on ne fait rien pour l’obtenir.
Agir et ne pas réussir est une victoire sur notre passivité, on évite au moins les regrets et les amertumes, et surtout on a agit suivant nos désirs et convictions.
Il y cette phase de questionnement.
Une introspection est primordiale avant de foncer tête baissée vers un caprice qui ne se révèlerait pas vraiment important pour soi.
Suis-je heureux dans « ma vie »? Est-ce celle que je souhaite vivre?
Une réponse honnête permet la connaissance de soi, ce qui permet de se trouver un nouveau chemin; un chemin vers un mieux.
Et cela, même si la réponse est oui aux deux questions!!
Connaitre nos points forts; nos faiblesses et nos peurs (et leurs origines); nos valeurs, nous permet de focaliser notre attention sur un objectifs qui pourra être plus clair et trouver des actions plus nettes à mener.
Enfin, une prise de décision est primordiale. Se décider à changer si cela est pour notre bien n’est pas toujours facile. Cela implique des risques (relatifs) et de se confronter à nos peurs.
En décidant de se vivre mieux, ça ne pourra également apporter que du positif pour notre entourage, car les personnes que l’on aime pourront en profiter.
A présent, quel chemin suivre. Quelle est donc cette technique, s’il en est? Un manuel est-il disponible?
La réponse est oui! Depuis des dizaines de siècles, des voies nous sont proposées, par des spirituels, des philosophes, des sages. Aujourd’hui à la mode, des manuels de wellness se trouvent sur tous les rayons de librairies.
Ce que je vous propose n’est rien de plus qu’un condensé d’idées, peut-être remises à ma sauce, afin de parler à ceux qui n’ont pas été convaincu par d’autres mots. A cela s’ajoute la preuve par l’exemple (le mien) que prendre la décision du bonheur donne toujours ses fruits.
Je vous propose de prendre votre temps, vraiment, pour répondre au chapitre III: MISE EN LUMIERE. Non pas 10 ou 15 minutes pour répondre à ce qui suivra, mais si vous est décidé à provoquer un changement dans votre vie (qui doit afficher certainement quelques années au compteur!) vous devrez vous investir. Pleinement.
Les meilleurs résultats sont ceux auxquels on a payé un prix conséquent. En tous cas, c’est comme cela pour un développement personnel : s’investir. Un stage à 200 ou 300 euros ne produira pas le même engagement personnel qu’un stage à 2000 ou 3000 euros. Nous ne parlons pas du contenu du stage, mais bel et bien de l’investissement personnel des stagiaires. Les résultats qui en découlent sont du même ressort. Plus on s’investit dans un travail, un engagement, plus le résultat est important.
Aujourd’hui, nous parlons de votre temps. Consacrez le à vous remettre en questions, à remplir le plus sincèrement votre Mise en Lumière (Ch.III).
Consacrez réellement du temps, plusieurs soirées, sur plusieurs jours, mais condensez votre temps de travail pour ne pas « laisser couler » et passer à autre chose. Tant que vous êtes chaud, immergez-vous dans votre changement. Ce que vous faites aujourd’hui est un engagement au bonheur, pour obtenir un résultat concret.
Vous désirez améliorer votre vie ou non?
Avant de passer à la suite de ce chapitre, j’aimerais vous demander de faire un rapide petit bilan. A partir du souvenir le plus lointain que vous avez, jusqu’à aujourd’hui, je vous demande de raconter votre histoire sur une dizaine de lignes. Prenez en compte les aspects relationnels, affectifs, religieux, rêves, passions, tout ce qui airait pu vous sembler important dans votre histoire.
2
— LA PRATIQUE INTERIEURE —
2.1
APRES LA PRISE DE CONNAISSANCE : LA PRISE DE CONSCIENCE
Différence entre les deux: prise de connaissance et prise de conscience.
Maintenant que l’on a mis le doigt sur quelque chose de primordial, remarquons le, le plus possible.
MISE EN GARDE…
Quand tout se passe bien, notre pratique semble parfaite, adéquate. Mais quand une situation nous fait ressortir des réflexes conditionnés -ceux-là que l’on pensait effacés par notre travail actif vers la présence et la « sagesse »- tout semble oublié. Hors de question de revenir sur nos points d’encrages, notre mental et nos émotions sont au control. C’est pourtant MAINTENANT que nos exercices seraient nécessaires.
J’aime faire un rapprochement avec les entrainements de boxe. C’est sur le ring, face à un adversaire que nos efforts à l’entrainement sont salutaires. Il ne faut pas croire que c’est lors d’un véritable « combat » où il faut s’entrainer. Ne pas baisser les bras non plus si l’adversaire semble plus fort que nous! S’entrainer encore et encore! Seule manière de devenir soi-même plus fort.
- Avoir la foi (quelqu’elle soit!) Ceux qui ont vraiment la foi se tournent vers l’objet de leur foi dans les moments difficiles, dépassent leurs doutes et surmontent l’épreuve.
En s’améliorant soit même on améliore tous les domaines de notre vie.
Maintenant que l’on sait que nous sommes seul responsable de notre vie, donc de notre pouvoir créateur, nous avons l’opportunité de donner un « sens » à notre vie et de le suivre.
Etant donné que chacun affirme vouloir le bonheur, choisissons ce chemin.
Apres la prise de conscience, reste le passage à l’acte, afin d’etre bien en concordance avec nos idées et nos valeurs.
Rendez-vous ainsi aux chapitres II.3 et II.6 pour des actes concrets.
2.2
MEDITATION
Bien que l’on soit là avec une pratique qui met en jeu notre corps physique, c’est notre état intérieure que l’on cherche le plus à impacter avec la méditation.
On entend souvent parler de « Flow », de flux, ou de moment de grâce. On retrouve cet état chez les sportifs quand ils se dépassent physiquement, lorsque l’on trouve la solution à un casse-tête, que l’on est en pleine création artistique, lorsque l’on éprouve un orgasme … et chez les pratiquants de méditations.
On peut parler de moment de présence, ou de Zen.
Jim Lagopoulos, professeur à l’Université de Sydney, est le chercheur responsable d’une étude en 2008 portant sur les changements de l’activité électrique du cerveau pendant la méditation non-directive.
Elle a montré une différence significative entre la méditation et la relaxation sans technique spécifique, sur xxxxxx cf site web
Avec suffisamment de pratique, on peut faire abstraction des phénomènes extérieurs au moment présent; ce qui peut sembler impossible lors des premières méditations, un peu comme les premiers cours de guitare, et c’est vrai pour tous les apprentissages!
Je m’explique. Si l’on pouvait faire pause avec une télécommande magique, on pourrait observer ce qui nous entoure: aucun bruit, aucun mouvement, aucun danger. Un peu comme si l’on pouvait sortir de notre corps et le regarder de l’extérieur, s’apercevoir qu’il ne court aucun danger. Certains peuvent être dans le moment présent même en circonstances d’inconfort physique, ceci est juste un autre cap de l’état de présence, d’être témoin et de lâcher prise. Une aiguille pénètre dans notre bras pour nous prendre un peu de sang? Soit! On a mal aux dos en méditant? Soit! Amen, qu’il en soit ainsi, puisque je ne peut rien y faire.
Avec la pratique, « s’attarder » sur le moment présent devient plus familier. On apprend à le reconnaitre et à s’y retrouver même en dehors de nos méditations.
Obstination et temps sont nos deux supers alliés.
2.3
ETRE TEMOIN
Une pratique concrète, aidée par les exercices précédents, nous habitue à nous rendre compte du mode de pensée que nous avons. Ainsi, une prise de conscience devenue familière du mode extérieur, ou intérieur, nous ramène au moment présent. La réalité peut alors nous sauter aux yeux.
C’est l’état de témoin qui permet au soi de ressentir, d’apprécier LE moment et de laisser la place à la conscience. On arrive à une conclusion « intellectuelle » que tout va bien maintenant. Et… c’est toujours maintenant !
EXO moment présent:
dans différents endroits, au village des Pruniers où celui de Sainte-camelle par exemple, on utilise une cloche pour nous rappeler de revenir au moment présent; de revenir « présent ». Apprécier ce qui est, et en tant que témoin, on s’aperçoit du manque de souffrance immédiate. Mais plus encore, le beau nous saute aux yeux. On peut laisser le bien-être ressurgir. Et cela est possible à chaque instant où l’on pense à se replonger dans le moment présent. Cf Eckart Tolle, et son livre le Pouvoir du moment présent.
Ce constat n’est pas nouveau: le mental nous retient et nous pousse au négativisme.
- Etre conscient de notre entourage, de nos actions et de nos pensées est une étape cruciale pour sortir de ce cercle vicieux. Ouvrir la porte au cercle vertueux est alors possible, c’est en partie le rôle du Karma Yoga.
Devenir le témoin, ou prendre de conscience de la réalité, de ce qui est (en nous et autour)
2.4
LE RESSENTI
Le ressenti est l’analyse de nos sentiments, nos émotions, nos pensées que l’on perçoit lorsque l’on est présent.
Si ce n’est pour trouver l’éveil, on peut au moins retrouver la paix intérieure, ou le bonheur, en passant du concept au ressenti (intérieur, mais aussi physique).
« Re »trouver la paix intérieure, car on a tous eu cette paix en nous, à un ou plusieurs moments de notre vie.
Des ressentis que l’on connait déjà, car chacun de nous connait cette sensation de bien-être.
En cas d’oubli, on peut se remémorer «visualiser » dans la tête, grâce au mental, ces moments, et le corps va les revivre!
Et du corps, merveilleux outil pour nous rappeler nos ressentis, cet état de paix intérieure ou de joie, qui peuvent être endormies, se manifestera de nouveau.
Voici donc des moyens pratiques pour nous aider à retrouver ces sensations, et à en créer de nouvelles plus intenses, plus persistantes, plus durables.
EXERCICE : se faire une liste de moments agréables.
Choisir « son » moment qui élève (cf. points d’ancrage)
2.5
ETRE TEMOIN DE NOS PENSEES, DE NOTRE NEGATIVISME
ET DE NOTRE DESIR DE SOUFFRIR
Car si les pensées liées aux dernières vacances au soleil ou au prochain câlin avec son amoureux sont des plus agréables, celles rattachées à des événements plus douloureux sont sources d'émotions pénibles : tristesse, colère, peur... Or c'est bien souvent à ces pensées que l'on s'attache le plus et autour desquelles on tourne en boucle. On rumine, on ressasse, on s'inquiète. Et on oublie de vivre la seule chose qui existe, l'instant présent, cet instant précis où, bien souvent, tout va bien; et notre intention d’être heureux.
La méditation nous aide donc à trouver la paix intérieure.
Sortir du non et aller vers le oui.
2.6
ETRE TEMOIN … ET SORTIR DU JUGEMENT
Il convient donc de faire un pas de côté pour s'observer en train de penser, et pour constater à quel point nous sommes altérés par ces constructions mentales qui ne sont pas le reflet de la réalité, mais notre interprétation assombrie par nos émotions. Méditer en pleine conscience, c'est prendre du recul pour sortir de la boucle infernale de nos pensées douloureuses.
2.7
KARMA YOGA
Le Karma Yoga se défini par trois points à suivre:
- penser juste
- parler juste
- agir juste
- La pensée juste requiert d’être attentif à nos pensées courantes, qui ne sont pas toujours agréables, positives.
Penser juste est un exercice pour rendre nos pensées positives, et comme on peut le retrouver dans les accords Toltèques: comme éviter de prendre les choses pour soi . Cela demande de se rendre compte de nos jugements (largement réducteurs, voir négatifs) portés tout au long de la journée sur ce qui nous entoure.
C’est aussi le ton, l’émotion, qui accompagne nos pensées qui est à gérer. Par exemple « Qu’est ce que cette femme est grosse » ou « Le train est encore en retard » seront entendus de manière critique la plupart du temps. Il est possible de transformer ces moments intérieurs en quelque chose de constructif pour soi; déjà s’en apercevoir puis trouver une meilleure énergie à ces mots: faire preuve d’empathie pour cette femme « elle doit se sentir malheureuse, avoir des soucis de santé probablement » ou bien « le train est en retard, que puis je y faire? Rien. »
- La parole juste est aussi un exercice qui deviendra plus facile avec la pratique. L’ego a envie de se montrer, de se faire entendre des autres pour prétendre exister. Dans plusieurs disciplines spirituelles, ne rien dire est préférable si ce n’est pour dire une parole positive ou constructive. En effet, se plaindre ou parler sans consistance n’apporte rien à personne, ni à la situation, quelle qu’elle soit. Si c’est pour raconter des banalités, cela conduit à une perte de temps.
Qui ne connait cet adage « tourner sept fois sa langue dans sa bouche »? Cela résume ce qu’est la parole juste.
- L’action juste, elle aussi, est une habitude à prendre. Cela pourrait se traduire par une rester inactif si cela n’est pas justifier d’agir.
Une action doit alors être appropriée au moment, et décidée, à l’inverse d’une réaction qui serait purement acquise (peut être d’après une mauvaise habitude?)
2.8
SE FELICITER (l’opposé de se blâmer)
2.9
ACCUEILLIR SON ENFANT INTERIEUR
Voir l’enfant que nous étions avec un regard different de l’adulte que l’on est aujourd’hui. Ne plus voir cet enfant du passé comme « soi » ou le nous-même d’autant, mais dissocier notre vie présente de cette vie passée, ce qui permet de ne plus s’identifier comme étant « encore et toujours» l’enfant en question, avec ses ressentis et ses problèmes ou frustrations.
Pour évoluer, il faut savoir accepter la vérité de ce que l’on a vécu, encore une fois lâcher prise, et faire une séparation entre ce que l’on a été et ce que l’on est aujourd’hui.
Savoir que les émotions de cette période peuvent encore être en nous à l’âge adulte.
Accepter sans juger, ni donner de qualificatif comme « j’étais un pauvre petit » ou « j’ai été un enfant… » et les critiques positives sont de même à éviter
2.10
LACHER PRISE
Lâcher-prise, qu’est ce que c’est?
On en parle souvent dans les milieux de développement personnel.
C’est en fait l’état où rien ne nous touche, être stoïque (cf philosophes de cette ecole de pensée) revient à la même chose.
On ne s’arrête pas, on ne rumine pas, sur un fait ou un état que l on ne peut contrôler, sur lequel on n a aucun pouvoir de changement.
Cela signifie ne pas s obstiner à y penser (être témoin que l’égo aime revenir sur ce genre de chose est une étape importante pour évoluer) et ne pas ressentir de sentiment ou d’émotion à son égare (ce qui vient, lentement, avec des pratiques comme la médiation.
Pourquoi lâcher-prise?
Lâcher-prise apporte un soulagement, comme lorsqu’on enlève une écharde que l’on supporte depuis trop longtemps
Pourquoi lâcher-prise?
Arrêter de « s’arrêter » sur les contrariétés, et de (se faire) souffrir pour la moindre chose ou à la moindre occasion.
C'est un processus de déconditionnement.
Comment lâcher-prise?
Exercice: détourner l’attention de notre ego, c’est tout simple. Enfin… pas si simple, quand meme.
Attention: il faut le désirer, quand même, ne pas mettre d’huile sur le feu. Détourner notre attention de notre égo est un peu comme sortir du lit alors que l’on y est si bien: il ne faut pas tergiverser. C’est dans l’instant que cela se passe.
Avec l’habitude, on constate plus fréquemment ces moments où l’égo est présent et on se met à sourire car on le remarque en ne s’en identifient plus. On « le » remarque.
2.11
LES CROYANCES
Exercice simple en transformant les croyances limitantes suivantes en questions avec le “Comment” : (trouver des phrases dif (du site originel))
« C’est parfois dangereux d’essayer quelque chose de nouveau (par exemple : “Comment puis-je essayer quelque chose de nouveau dans la sécurité »)
« Si j’obtiens ce que je veux maintenant, quelque chose de mal surviendra après. »
« Je ne suis pas assez créative pour réussir. »
« Je suis trop vieux pour apprendre quoi que ce soit. »
« Je suis trop jeune pour contribuer à quelque chose d’important. »
Sortez de votre paradigme
Durant toute votre vie jusque à aujourd’hui, vous vous êtes conforté, entraîné à être ce que vous croyez être. Parole de coach sportif!
Chaque jour, vous renforcez l’idée qui est en vous depuis trop longtemps, vous attisez le feu, celui qui vous brûle un peu plus chaque jour.
Maintenant, à vous de décider celui que vous voulez être.
2.12
LA GRATITUDE
Comme la marche méditative, le marche de gratitude est un excellent exercice.
C’est un … « exercice » concret nouveau pour moi. Et il fonctionne incroyablement bien. Il me renvoie à la face énormément de positif. En fait, tout est parfait, et le seul aspect de le remarquer devrait être remercié. Et les instants de gratitude « qui arrivent comme ça » sont des moments encore plus incroyables, car ils ne sont pas recherchés, ce qui est d’autant plus beau.
C’est sans doute aussi un cercle vertueux, car si cela n’est « que » psychologique, cela fonctionne. Le bien-être n’est-il pas lui aussi un état psychologique?
Je remarque de plus en plus de choses -sur le moment et à d’autres moments de la journée- auxquelles j’ai envie de dire merci. Merci est un mot fabuleux… du moins ce qu’il véhicule comme symbolisme, et comme énergie. Cela me donne l’impression que mes sens sont plus aiguisés. Et je remarque plus de choses. Plus de couleurs, plus de sons, plus de chaleur, plus d’énergie positive.
2.13
LA VISUALISATION
Cf processus décisionnel (II.x)
Chaque pensée crée une connexion neurale… et votre réalité.
Pensez à une pensée assez souvent et la connexion neuronale deviendra plus forte, surtout s’il y a un attachement émotionnel à elle.
Les pensées modifient aussi votre cerveau en stimulant la production de substances chimiques cérébrales qui peuvent changer la structure et la fonction de votre cerveau.
Un bon exemple est ce qui arrive à votre cerveau en situation de stress.Quand une situation que vous percevez comme stressante survient, elle augmente votre niveau de cortisol, l’hormone du stress.Une exposition prolongée au cortisol excite vos cellules cérébrales jusqu’à provoquer leur mort, en particulier celles situées dans l’hippocampe, siège de la mémoire.
Le cortisol interrompt également la production de la sérotonine, un neurotransmetteur calmant, un facteur neurotrophique dérivé du cerveau (BDNF) qui est essentielle pour la formation de nouvelles cellules cérébrales.
Une seule chose à faire: penser à ce qui vous motive (amour, projet...) et ressentir ses effets « dans votre corps ». Cela devrait vous démanger d’avancer dans la direction qui vous conduit vers votre souhait.
Les habitudes « positives » ou « génératrices de bien-être » vont enclancher en vous le mode inarrêtable .
2.14
LES ACCORDS TOLTEQUES
Nous avons déjà tous entendu parler des quatre accords Toltèques décrits par Don Miguel Ruiz dans son ouvrage du même nom.
Chirurgien, fils de guérisseuse et de chaman Mexicains, il se consacre
- Que votre parole soit impeccable.
- N’en faites jamais une affaire personnelle.
- Ne faites aucune supposition.
- Faites toujours de votre mieux.
Un cinquième accord vient dans un livre sorti dix ans après les premiers accords par M.Ruiz et son fils. Il propose de « rester sceptique, et d’apprendre à écouter ».
Ainsi, ce dernier accord reprend l’idée de Descartes où tout serait remettre en question. Est-ce la vérité? Est-ce réel? Ecouter attentivement revient à être plus profondément dans le présent, à être hors du jugement, donc d’une vision plus juste des faits.
3
— LA PENSEE POSITIVE DANS LA FORME —
3.1
LE VISION BOARD
voir aussi la visualisation
Un vision board est un assemblage d'images, de photos et d'affirmation de vos rêves, objectifs, et plus généralement de ce qui vous rend heureux afin que ce qui vous fait du bien soit toujours présent visuellement.
http://urlz.fr/40ix
3.2
POST-IT (des penses-bêtes… partout?)
Un peu comme le vision board, mais en plus petit, en rappels dans la salle de bain, dans la voiture ou le sac à main. Un simple smiley sur un post-it sur le frigo peut faire l’affaire, à condition d’y mettre l’intention.
Par exemple, mettre Pourquoi à différents endroits. « Pourquoi » je fais des efforts? « Pourquoi » je veux changer telle ou telle chose dans ma vie? Ce Pourquoi vous fera vous remettre en mémoire vos raisons, et vos motivations de continuer à évoluer dans la bonne direction.
Lorsque vous pensez abandonner, souvenez-vous des raisons pour lesquelles vous avez résisté jusqu’à maintenant.
3.3
ECOUTES ACTIVES
La recherche de ce bonheur est une quête.
Il ne s’agit pas là de technique de communication. On parlera plutôt de faire une écoute d’un texte, ou de regarder une video ou même de lire un document traitant de spiritualité, de développement personnel ou lié à la recherche du bonheur ou autre sujet relatif aux objectifs de bien être que vous recherchez, et ce avec d’autres personnes.
Cela vous permettra de trouver de nouvelles interprétations, un angle de vue que seul vous n’auriez pas abordé. De nouvelles réflexions de votre part sur des sujets que vous trouvez importants, car ils sont en adéquation avec votre recherche de bonheur, apparaitrons, cela apportera de l’eau à votre moulin. De nouvelles réponses peuvent apparaitre spontanément grâce à la lumière extérieure apportée par autrui.
3.4
RITUELS ET POINTS D’ANCRAGE
Que le point d’ancrage le plus puissant soit votre inspiration!! Même les mains coupées, vous pourrez le pratiquer!!
Où que vous alliez, vous serez dans cet espace privé, qui n’est rien qu’à vous: là où ce coeur bas! Là où se fait cette respiration.
Allez y! Respirez!!!!
Le plus facile est de croire ce que l’on connait, ce que l’on peut « toucher ». C’est pour ce la que je préconise de se souvenir d’un moment de plaisir, de bonheur réel pour que les émotions associées soient perçues comme réelles, et que l’on ne doute plus de leur existence. On peut alors se raccrocher à quelque chose de concret, connu.
Les sensations, émotions que vous pouvez ressentir aux meilleurs moments de votre journée, imprégnez-vous en, grâce aux points d’encrage.
3.5
PRATIQUER UNE ACTIVITE PHYSIQUE
Quand envie, passage à vide, ou autre:
Faire les exercices physiques vus => détourne l’attention du mental (en faisant parallèlement du bien au corps) le temps que celui-ci se déconditionne. La plupart du temps, on « tente » de se faire du bien (on le crois peut-être) en mangeant, fumant, et on ressent tjs de la culpabilité et de la souffrance! Certains vont préférer se faire souffrir directement (scarification...). Pourquoi ne pas « souffrir » physiquement mais avec des exercices qui eux, à la fin, ne nous blesseront pas et apporteront un meilleur état général??
3.6
LES BONNES HABITUDES
A nous de faire que cet état devienne notre quotidien. Cela est possible, comme tout apprentissage, par le rabâchage, la pratique, de nouvelles habitudes.
Les habitudes ne sont-elles pas une seconde nature?
Les habitudes se créent dans la matière, mais avec le temps elles font parties de notre système d’action, pour enfin dépasser ce stade et devenir intérieures. On se crée alors un nouveau « caractère ». C’est en cela que l’on doit changer soi même, pour aller vers du neuf, du désiré.
Mais changer ses habitudes, sortir de sa zone de confort, c’est difficile. Mais ça rapporte. Savoir et faire sont deux choses différentes me direz-vous.
Pour trouver l’inhabituel, on doit se mettre dans une position inhabituelle, vrai ou non?
Einstein disait : « La folie, c’est se comporter de la même manière et s’attendre à un résultat différent ».
La plupart du temps, si on refuse de changer, c’est d’une certaine manière parce que jusqu’a aujourd’hui, nos habitudes nous ont permis de survivre. Et l’Homme possède un instinct de survie intrinsèque.
De plus, si on a « souffert » toutes ces années pour être où l’on en est aujourd’hui , obtenu ce que l’on a, il est difficile pour la plupart des gens de se dire qu’ils ont fait fausse route, qu’un autre chemin aurait été, et est encore, préférable de suivre pour un résultat meilleur. Que ce soit du point de vue personnel, mais tout autant professionnel.
Allez convaincre un agriculteur que la permaculture est meilleure sur de nombreux points revient à remettre en question non seulement son travail, mais son jugement en tant qu’individu.
Ainsi, une remise en cause personnelle est toujours difficile pour celui qui ne prend pas un chemin de réflexion, philosophique voir même spirituel.
Toutes les propositions de pratiques et d’exercices qui vont suivre pourraient devenir vos nouvelles habitudes. Vous avez donc une piste, et vous ne partez pas à l’aveugle.
Il n’y a qu’une chose à faire: FAIRE. Pas une grande chose pour commencer, le premier pas doit être modeste, car il est motivant et gratifiant de réaliser un objectif, quel que soit sa taille. Pour cela, on utilise la technique appelée des petits pas (cf II.6.x).
4
— LA PRATIQUE AVEC LES AUTRES —
Mère Teresa disait: « Ne laissez personne venir à vous et repartir sans être plus heureux. »
4.1
HO’OPONOPONO
Ho’oponopono est une formule que l’on dit à l’intérieur de soi dès qu’un conflit, une émotion forte et négative surgit devant vous « Désolé, Pardon, Merci, Je t’aime ».
. Désolé, signifie que l’on reconnaît le conflit, Je ne savais pas que j’avais cette mémoire en moi…
. Pardon, à la vie, à moi-même, donne la possibilité de se pardonner à soi même et à l’univers d’avoir créé cette situation…
. Merci, de m’avoir montré le problème que j’avais sans le savoir, à votre âme, à Dieu, à l’Univers d’avoir réveillé cette mémoire qui était en vous afin de la nettoyer.
. Je t’aime, la vie, mon environnement, mon entourage, mes mémoires et moi-même, c’est le nettoyage de la mémoire limitante en envoyant une énergie d’Amour à vous et à l’univers. On pourrait dire aussi « je m’aime ».
4.2
BIENVEILLANCE
4.3
DONNER… PLUS
Faites-en l’expérience, lorsque vous aidez quelqu’un ne serait-ce que lui tenir la porte, ou laisser la place dans le bus ; ou apporter votre écoute, votre soutien… Il se passe des choses dans notre cœur, qu’on ne maîtrise pas. C’est une vraie thérapie pour se sentir mieux.
Exercice
Choisissez, ou tirez au sort une des actions du Bingo de la Gentillesse. A présent, remplissez la ligne (horizontale, verticale, diagonale) du Bingo!
Allez-y, vous comprendrez la puissance de la bienveillance. Fais la différence!
4.4
AMOUR… INCONDITIONNEL
Les savants, les philosophes, les maîtres spirituels, les seniors ... tous les disent: l’Amour doit guider le monde
Si vous n’y croyez pas, vous n’avez RIEN A PERDRE de tenter l’expérience et vous serez un jour convaincu des bénéfices sur votre vie. Vous serez plus heureux, quels que soient les éventuels changements dans votre vie.
En allant plus loin, avec un certaine pratique, on s’aperçoit que la vie qui nous entoure change également… vous connaissez la loi de l’attraction et le S.A.R.?
LOKAH SAMASTAH SUKHINO BHAVENTU
https://www.youtube.com/watch?v=27EaiOemkNs
Trouver sa passion et mission de vie - Seongdam ( interviewé par Lilou Macé )
4.5
BIEN S’ENTOURER
- Eviter les personnes vampires, négatives, râleuses… sachez que nombres de psychologues affirment que nous sommes la sommes des cinq personnes que l’on côtoie le plus dans notre vie. Que diriez-vous de vos plus proches… proches?
5
— LE SYSTEME D’ACTIVATION RETICULAIRE OU R.A.S. —
Travail inconscient orchestré par notre cerveau.
Qui n’a pas cru voir des femmes enceintes partout du moment où nous apprenions que nous-même l’étions? Ou votre chérie, votre meilleure amie. J’ai remarqué ce phénomène quand j’ai eu quatorze ans. Ma mère m’avais alors promis une mobylette, une 103 SP pour les connaisseurs. Une mobylette que je n’ai jamais eu d’ailleurs, mais durant cette période d’espoir, je voyais des « pétrolettes » partout, tout le temps. Je me suis demandé comment ça se pouvait, alors qu’auparavant ce n’était pas la cas. J’ai compris ce fonctionnement cérébrale que bien plus tard. De manière scientifique; car ma mère avait quelques livres de la collection J’ai lu, dont un parlait de l’intention.
Elle m’a donc offert bien plus qu’une mobylette en fait : l’opportunité d’aiguiser ma curiosité et mon ouverture d’esprit.
Que ce soit pour voir le positif autour de soi, ou arriver à obtenir des résultats dans un domaine ou l’on souhaite devenir meilleur, le R.A.S (Reticulum Activation System, le terme angliciste) est incroyablement puissant, et ne demande que peu de volonté pour être activé, mais un peu aussi de travail.
On peut comparer le SAR à un filtre, car il s’assure que votre cerveau n’a pas à gérer plus d’informations que nécessaire et que ce dont il est capable.
Il a donc un rôle très important car c’est lui qui décide quelles sont les informations qui sont autorisées à être traitées et conscientisées. En effet, vos organes sensoriels envoyant des quantités massives d’informations au cerveau (400 millions de stimuli internes et externes par secondes), il s’agit de sélectionner celles qui sont les plus importantes, sinon notre cerveau pourrait « pêter un plomb ».
Ainsi, il ne reconnaît ou ne sélectionne que les informations qui seraient conformes à nos besoins, ce à quoi on porte de l’importance et à nos croyances. Il serait même « à l’affut » de ce genre d’informations. Qui n’a jamais cru entendre son prénom dans la rue, au milieu du tumulte, alors que ce n’était qu’une onomatopée, ou tout autre chose que notre nom. Lorsque nous avons une croyance, donc, notre cerveau confirme cette vérité par le nombre de messages allant dans ce sens. Les croyances ont une tendance à s’auto-valider.
6
— LE PROTOCOLE DE REALISATION DE NOS REVES —
Tout ça parce que un jour j’ai commencé à réfléchir à mes rêves!
Réfléchir, c’est la première étape pour construire ses rêves. Ensuite il est nécessaire de passer à l’acte pour ne pas rester dans le fantasme.
« Prier, méditer, cela ne sert à rien si on ne passe pas à l’action.) H.H.D.L.
6.1
METHODE EN CINQ ETAPES
1: Travail d’introspection
Comment avoir une vision à 360° de votre vie aujourd’hui ? (Questions inspirées du "coaching orienté solution").
Exercices : III. MISE EN LUMIERE
2: Objectif à définir
Qu’est-ce que vous ne voulez plus ? Qu’est-ce que vous aimeriez changer ?
Exercices : Champs des possibles
3: Changements de perception
- sur vous-même et sur la vie :
Comment se réconcilier avec son passé pour apprécier le moment présent ? (à l’aide de techniques basées sur la psychologie positive).
4: Projection vers le futur.
Comment faire pour perdurer le changement dans votre vie (bilan de fin, mise en place de nouvelles habitudes, plan d’action…).
5: Passage à l’acte.
- technique des petits pas
- organisation
Repérer ce qui est secondaire et faire ce qui est « prioritaire et primordial » pour vous.
Cela demande évidement une (nouvelle) organisation, mettre en place de nouvelles habitudes.
6.2
PROCESSUS DECISIONNEL
Où que vous soyez, pourquoi pensez-vous en être là aujourd’hui?
Vous avez pris une décision. Et les événements ont suivis (actions, rencontres, événements...) cette décision. Vous allez là où vous vous projetez.
Exemple:
aller au ciné suit un processus décisionnel : l’idée, l’envie puis la décision, le choix de la séance, l’achat du ticket, l’organisation autour du départ vers le ciné, avec qui y aller, la fin de soirée, etc.
Pourquoi en êtes vous là dans votre vie, celle de tous les jours?
En fait, vous devez bien être quelque part, non? Alors si vous n’êtes pas là où vous auriez aimé être, peut être est-ce parce que vous ne savez pas exactement où vous voulez aller, où vous n’en n’avez pas pris la ferme décision, ou encore que vous ne vous y êtes pas pris de la meilleure façon, ce qui est possible. Du coup, vous vous trouvez dans une situation qui ne devrait pas être la vôtre, que vous ne désirez pas. Vous subissez votre vie, les facteurs extérieurs vous ont tenus en laisse.
Décidez et projetez vous.
Vos actions aboutirons à un résultat.
Il prendra peut-être du temps à se matérialiser, mais vous serez dans l’action, dans une action positive (vous serez en phase avec vous!) et, au pire, si cela relève de trop d’énergie, que vous abandonnez vous aurez essayé.
Mais essayez encore. Essayez encore.
Agir dans le présent c’est faciliter son avenir.
Visualisation :
Petit jeu projet en lien avec la présence :
plusieurs fois par jours, arrêtez vous, prenez le temps de regarder autour, de respirer et de vous pour vous demander ce qui pourrait vous aider à avancer dans vos projets. Qu’est ce qui pourrait vous être utile? Imaginez en quoi tel bâtiment ou telle personne, ou encore telle affiche pourrait vous aider.
(Soit: à quoi pourrait vous servir cet objet? Ou: qu’est ce qui pourrit m’aider au...?)
6.3
VISION BOARD
Il est temps de revenir un peu sur votre vision board.
Vous allez voir le plaisir de l’étoffer un peu en ajouter sur ce beau tableau des images ou tout autre xxxx concernant votre nouveau projet.
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L’EXERCICE
Se créer un petit moment de bonheur.
Vous avez envie de partager un moment avec une personne que vous aimez.
Vous appréciez aussi, sûrement, bien manger.
Pourquoi ne pas inviter cette personne, et avec elle, cuisiner une tarte?
- Vous savez que tout ce qui en retournera n’apportera que du bon, mais il vous faudra également faire tout un tas de démarches, peut-être fatigantes, pour que cette soirée aboutisse.
- Appeler votre ami(e), le ou ou la convaincre de passer (donc un critère dépendant de quelqu’un d’autre. A vous d’être convainquant.)
- Faire la liste des ingrédients, se déplacer pour les choisir, les acheter…
- Et un tas d’autres facteurs dont je ne parle pas.
D’après vous, quand commence réellement le plaisir; le bien-être qu’un projet comme celui-ci permet de procurer?
Pas quand vous couperez la tarte. Pas quand votre ami arrivera. Mais bel et bien quand vous décidez de faire cette soirée, oui?
Si nous arrivons à jouir de chaque moment comme durant cette préparation de soirée, nous profiterons de la vie a chaque moment.
N’oubliez pas le plaisir prit pendant toutes les étapes, car vous aurez gardé vos envie de départ, et ce que cela vous apporte.
Si quoi que ce soit devait empêcher le but final (croquer dans cette belle part de tarte aux légumes, aux herbes succulentes, avec cette personne que vous chérissez), ceci à n’importe quelle étape; alors ne vous apitoyez pas sur votre sort. Ce n’est que partie remise, et au moins, vous aurez pris du plaisir jusqu’à ce moment où l’affaire est tombée à l’eau. Et vous aurez essayé!
C’est comme cela pour toutes nos décisions et réalisations.
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EXERCICE PRATIQUE
Chaque moment doit être l’occasion de ressentir ses émotions, feelings.... (ts les jours, le plus possibles,...)
Addictions: (choco, cigarettes...) faire le lien entre plaisir de l'instant (Pause, tranquille, cafe...) et la cigarette, par ex. Dissocier le plaisir: ne plus faire d’amalgame entre les deux. Savoir jouir SANS l’addiction. Et remplacer le « arrêter de... » par « meilleure santé, résultat... » par ex. => nouvelles habitudes.
EXERCICE PRATIQUE
Travail d’écriture pour toutes ces données : essayer d’exacerber cette sensation de bien-être, de plaisir, (le ressentir physiquement) jusque ne plus avoir besoin d’autre chose pour être bien.
EXERCICE PRATIQUE PHYSIQUE
Être responsable de ses émotions: Pas d’un contingent extérieur.
Utiliser l’amour (on aime tous quelqu’un) comme vecteur de bien être.
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— ETAPES —
Si :
- être heureux dans votre vie… aujourd’hui, n’est pas devenu votre priorité
- vous n’êtes pas convaincu, décidé de vouloir le bonheur comme comme état d’être
- vous trouvez des raisons justifiables pour ne pas changer
- vous continuez de voir le coté négatif des choses plus que le coté positif
- vous restez septique sur la possibilité de vivre votre vie pleinement
alors passez votre chemin.
Ce n’est pas si facile de prendre des choix qui semblent aller contre la raison -ce que notre conditionnement nous dit être la raison-. Mais continuer à vivre comme aujourd’hui ne semble pas si facile que ça non plus.
Alors soit on reste sur ce chemin, et : acceptons le, et faisons qu’il soit le plus beau possible;
Soit on prend une nouvelle direction, pour aller vers un mieux.