Cette page est protégée par un mot de passe


 
Comment Tarentino a imaginé « Une nuit en enfer »..
 


La pièce est chaude. Du moins les personnes qui s’y trouvent font monter la température, et l’humidité tout autant. La soufflerie de la clim n’aide en rien pour diminuer cet inconfort supplémentaire. On a beau n’être que trois dans ces dix mètres carrés, nos calories dépensées naturellement sont augmentées par la tension et le stress. Même si on ne s’agite pas des masses, la situation est en elle même suffisante pour que l’on ressente cette énergie perdue. On dit que la température d’un homme et d’une femme faisant l’amour peut faire augmenter de cinq degrés une pièce de même taille que la notre. Et si nos corps ne bougent pas, l’amour pour l’alitée et telle que nos corps irradient de même sorte.
L’amour. La plus belle et la plus terrible des choses. N’est elle pas la seule cause réelle de malheur, quand on y réfléchit bien ? Quand l’opportunité nous offre la « chance » de relativiser, on peut remettre à jour nos priorités! L’argent (objectif apparent de chacun, si on regarde attentivement autour de soi) et le matériel passent bien avant des choses… N’est il pas bouddhiste de savoir se défaire de ce que l’on possède ? Il faut connaître pour pouvoir abandonner. Rien n’est jamais perdu. Rien ne disparaît, s’il n’est vivant. En l’occurrence, la perte d’un proche est assurément le plus dur des abandon qu’il soit. Le deuil. Le propre de la possession et de garder pour soi. A soi, concernant l’Amour.
Le stress présent est ressenti du fait de l’attente de cette séparation, inéluctable. Le cancer développé par notre mère est déjà avancé. Métastases au niveau du foie. Métastases au niveau de la moelle épinière. Métastases au niveau du cerveau. Le moment fatidique approche, et on ne pourra jamais y échapper. La mort, évidement est inévitable. Sauf qu’elle vient le plus souvent par surprise. Et rapidement, comme une surprise. Une mauvaise surprise, certes, mais ressemblant la plupart du temps à cette petite fête organisée à l’insu de son plein grés de telle ou telle personne dont ce jour représente un évènement  particulier. Un anniversaire, une promotion, un départ. Pour nous, c’est justement un départ. Sauf que la date n’est pas fixée, et que l’attente nous rend nerveux. Nauséeux. Et cet état ne disparaîtra pas. C’est loin d’être une fête que l’on s’attend à vivre. Il est vrai que certaine civilisations accompagnent le départ du défunt par une fête. Ex XXXXXXXXXXXX.
Ce haut le cœur ne cesse de grandir avec le moment du départ. Le moment de l’abandon face à la solitude de l’attente de la mort. De sa mort. Si ma sœur doit rentrer chez elle, et que je le dois aussi, on décide tous les deux que l’un de nous doit rester au chevet de maman. Ma jeune sœur, je pense, dois retourner chez elle et décompresser. Je ne sais pas si le moment est arriver pour elle de perdre sa mère, elle est si jeune, elle devrait avoir trop de mal à assumer. Conneries. On n’est jamais assez vieux pour perdre sa mère. Mûr je ne sais pas. Mais vieux jamais en tous cas. Et ni elle ni moi ne sommes l’un ou l’autre. Etant le moins jeune, je reste. Quel n’est pas le regard de soulagement, de remerciement que nous porte notre mère lorsque je lui annonce passer la nuit avec elle. On dirait le meilleur moment de sa vie. Sa fin de vie. Cette nouvelle ressemble à l’annonce de la rémission de sa maladie. Elle qui aimait, tout connement, regarder passer les nuages, écouter les oiseaux en se réveillant. Arrêtant de faire du bruit en marchant dans les bois si elle voyait un écureuil. L’annonce qu ‘elle ne passerait pas la prochaine nuit seule était ainsi un des plus beaux cadeaux que l’on est pu jamais lui faire à mon avis. De son regard remerciant s’amoncellent quelques larmes. Dans le mien forcement aussi. Et j’ai l’impression de vomir, finalement, mais par les yeux. Pleurer est quand même une certaine délivrance. Enfin, presque. Ma sœur nous quitte.
 
Il est dix-neuf trente, le repas demande à être desservit. Grosso modo une demi heure pour souper, record national atteint. Evidement, le plateau repart presque aussi lourd qu’à son arrivé.
Mme D.C, Ch. 06 1 SEMI LIQUIDE ENTIER SALE  PUREE HP/HC H.VERTS salé – FROMAGE BLANC 20% - COMPOTE PECHE TX  BON APPETIT
C’est ça, bon appétit !
On ne garde que la petite barquette de 100g sur la table. Bein oui, maman n’a pas changée sur un point, elle est gourmande. Pour une petite douceur, ici, tout le monde le deviendrait.
Sur sa table, à côté de cette compote qui va sûrement finir au mini frigo à sa droite, il y a son canard, histoire de pouvoir boire encore seule, une bouteille d’eau, un TRUC en carton où se trouvent une photo de ma sœur à l’age de un an dans les bras d’une cousine, ses lunettes de vue, un baume à lèvres, un stylo vert. Liste exhaustive. Il y aussi sur la table une de ses deux serviettes, l’autre est sous son menton, un mouchoir en papier, et, ultime distraction, un Rubik’s Cube antique. Je lui ai récupéré lors de son dernier passage à la maison pour un journée, il y dix jours. Il est tellement vieux, on dirait qu’il a de l’arthrose quand je veux lui faire tourner une face. Alors du coup, il ne sert plus que de porte photo car maman n’a plus assez de force face à lui. Une photo de l’hospital. Maman dans son lit entourée des deux filles de sa jeune sœur, elle aussi décédée d’un cancer, avec qui elle avait une relation unique, fusionnelle. En un mois, le changement est frappant. Terrifiant. Je reconnais par rapport à nos anciennes photos que c’est notre mère qui dans ce lit, de rares fois, dort et est apaisée. Ca arrive. Et lorsque je lui demande de me regarder dans les yeux, on s’échange des mots d’amour. Elle est là. Mais pas assez longtemps.
J’ai mis la télé pour essayer de faire diversion. Mais c’est nul.
 

Je m’aperçois que ce que je peux vivre pour le moment est loin d’être le meilleur passage de ma vie. Je sais pertinemment que d’autres moments viendront, et seront toujours mieux que celui là. Du moins pour moi. Car l’enfer, c’est réellement ici et maintenant. Dans cette chambre. Dans ce lit. A coté de moi, maman est depuis plus de deux mois en enfer. L’attente interminable. Sans aucune idées de quand surviendra cette mort qu’elle redoute de plus en plus jour après jour et qui n’arrive pas. Elle n’a d’autre choix que de rester là, immobile ou presque, incapable de faire ce que nous faisons tous sans nous apercevoir combien il est douloureux de perdre ce qui nous semble anodin. Se lever. Sortir de son lit. Remettre en place son oreiller, ou même se tourner dans ce lit. Alors marcher, ce n’est plus qu’un vague souvenir, qui ne revient que quelques fois, par réflexe, à chacun de ses réveils : -« allez, on se lève » pour aussitôt s’apercevoir de l’énormité qu’elle vient de dire. Elle ferme alors les yeux. Pour ne pas pleurer. Ou pour tenter d’oublier. Tout ce que nous pouvons encore faire.
Et elle, plus.
Après de nombreuses semaines dans cette chambre, incapable de la moindre autonomie, coincée dans ce lit, il y a de quoi devenir fou. Avec les drogues, ça en donne l’impression. Morphine 4mg/h, Haldol 6mg/h, Hyprovel 4mg/h, bonus de Morphine à la demande... Les discutions sont de plus en plus difficile à suivre. Mais maman s’en rend tout de même compte, et celui la mine de surcroît. Est ce dut aux drogues, à l’avancée de sa maladie ? Les deux mon capitaine. Toujours est il qu’elle ne m’appelle par mon prénom qu’après avoir appelés l’un après l’autre ses deux défunts frères. Mais c’est le plus proche, l’aîné décédé d’un cancer lui aussi, qu’elle ne cesse de réclamer. –«  François… François… François… » elle respire. Puis reprend un peu plus fort  –«  François… François… François… ». Tant que personne ne vient lui répondre, elle monte le ton, perdu dans cet appel à l’aide. Personne, c’est moi.
 
 


Une vie simple. La connaissance de cette simplicité. Mais la Connaissance lui faisait relativiser.
Vie semée d’embûches, que ce soit du point de vue amoureux, et financier. Une vie pleine d’amis. Quelques fois de bonnes gens. Quelques fois moins. Une vie surtout pleine de tristesse et d’amertume. Ses liens les plus forts, avec ses plus proches, étaient douloureux, elle ne recevait pas assez l’amour qu’il aurait fallut lui apporter.
(Est ce une transposition de ce que je devrais ressentir personnellement ??? )
ANPE, notaire annulé, secours catholique…
EXTRAITS
Présentation Book écrit en lettres Blanc sur noir
retour sur slasheur.info
- Conseils d'écriture
- Mzungu
- Réincarnation
- Fikra
 
EXTRAITS :
Début
Winnie
Winnie 2
Zanzibar
Sca
Au resto
Une nuit en enfer
Hannibal
1er opus
 
Hannibal
 
Je prefere le nommer 'Lecter' en reference ‡ Hannibal, celui qui se nourrit de ceux dont il croise la route!
Donc Lecter, je l'ai rencontrÈ quand je faisais une visite de logement.
- ha oui, c'etait quand tu as quittÈ ta copine. Elle est toujours dans votre appart?
- non, ele en est parti, et l'a laissÈ ‡ une de ses copines. j'aurais mieux fait de la virer!
Je n'aurais pas eu a supporter son coloc un seul jour... Bon, je continus. Donc je sonne..
 

-ha? bonjour, entre!
Un grand mec tout maigre se retire de devant la porte apres avoir hesite un peu, et me fais laisse la place pour entrer.
-bonjour, comment ca va? lui repondis je.
Il me repond avec un grand sourire, mais son expression laisse ‡ penser qu'il est surpris de me vor.
On avait poutant bien rendez vous ‡ quatre heures?
AprËs avoir refermÈ la porte, il attache ses cheveux, les minces et dispercÈs qu'ils sont, en catogan.
son accent sud americain est mÈlÈ ‡ un petit zozotement, ce qui le rend sympathique.
- je pensais que Pat c'etait un nom de fille. Il sempresses de me montrer son telephone portable et me montre son dernier message.
"waw, super, viens visiter mon apparte, et apres on pourra jouer de la musique ensemble et chanter a la vie jajaja"
-C'est pour ca que j ai ecris de cette maniere, se defent il.
-Ho pas de soucis! en fait j'avais bien lu qu il cherchait UNE coloc, mais son annonce etait urgente, et ma recherche l'Ètait aussi..
 
- alors ca c'est l entrÈe, et la c est la table ou je me mets pour l ordinateur, ou pour manger!
Ca c'est mon ordinateur, me dit il en retourant l ecran de son portable vers moi.
-Okayy.. super! je me demande s il pense me faire decouvrir ce qu est un ordi..?
-Assis toi ca va tu veux un verre ‡ boire?
Ayant tout le confort qu il etait possible d'offrir, il se mit ‡ me pauser des questions pour apprendre ‡ me connaitre.
 
 
Debut
 

I m getting old. Silence.Voila que je parle tout seul maintenant!? Et en anglais en plus..
Je deviens vieux, pense t-il alors.
Se relever lentement, en s'appuyant au mur sur lequel il s'assiet, le fait sourire.
Et bien oui, mes vingt ans sont révolus. Sans ces petits rappels, sans importances, il ne prendrait pas conscience de cette échappée du temps.
Juste maintenant, il se sent bien. Il est le premier arrivé à Stone Town. Il suis une vague des yeux. Puis une autre, et encore une. Jusque où peut il voir la vague se former? Plus prés de lui, sous le mur où il se repose, il regarde les hommes et les femmes qui vivent leur vie, dans leur rue. Brievement il imagine leur quotidien, leur maison, leur attitude envers leur amis.. Comme les vagues passent, il oubli les visages des passants aprés que le suivant se soit montré.
 
Il s'attarde à regarder de plus pres chaque détail de ce qu'il voit. Il s'attarde.
 
LE COLLEGUE DE WINNIE
 

faire la description d un collegue en sa presence, suite à la venue d une boss sur le lieu de travail de gerard:
- Est ce que tu veux connaitre mon avis, boss, sur ce que je pense de gerard, demande W, se trouvant a la droite de gerard, et dos à patrick, le second.
- oui, je veux bien. gerard, tu peux nous laisser s il te plait?
d un geste leger de la tete, W lui dit non.
- je prefere dire ce que j ai à dire devant lui, d ailleurs il doit savoir deja tout ce que je pense. du moins je l'espere.
- vas y, lui repond la boss, visiblement detendue part la presence de W, je t ecoute.
- on a tous nos interpretaztions des autres. nous avons tous des a priori meme vs a vis de nous meme, pas vrai le mougon? lance t il a Patrick au dessus de son epaule, sans lui montrer son sourire. Gerard est surement volatile, il suit les quatre vents. tout le monde vient lui parler, comme il est ultra sociable. c est une personne super souriante, alors il est agreable. mais vous devez lui donner des directives precises. Ordonnées!
la deuxième moitie de sa phrase, comme une ancienne confidence qui lui revenait en pleine figure, W avait regarder gerard dans les yeux. Les épaules légerement tournées sur la gauche suivaient le visage de Winnie bien face à celui de son interlocuteur.
- sur le terrain, son terrain, il fait des merveilles. c est un des meilleurs vendeurs je crois? tu connais les chiffres. il regarde la boss en commencant a sourire: il doit pas etre loin derriere moi?
-mais quel branleur, toi, tu fais!
la reponde du second, patrick, laisse entendre le meme sourire que W.
- c est qq un qui est le premier a se porter volontaire pour n imorte quelle tache. Il essaie de creer un ambiance amicale dans l equipe. je reverrais tout le monde avec plaisir, mais gerard ferait partie de ceux que j aimerai voir un jour chez moi.
tout le monde sourit a present. en tt cas est detendu.
- j aime particulierement le lundi car je vais travailler avec lui. j y suis egalement ravis car il y a Ruy, ou adriana. je prend bcp de plaisir a travailler avec eux.
un moment.
- et puis il y a... Papaaaah! le regard pointé sur celui de patrick, s'étant rapproché, sentant l'atmosphère détendue. une conivence naturelle s est créée assez vite entre eux. comme s ils etaient de vieux amis retrouvés.
- en fait j aimerais revoir toux ceux de la piece!
- et moi aussi? demande la boss, comme pour se moquer de lui et de leur manque de reelle connaissance mutuelle.
le plus poliment, le plus naturellement, la tete legerement inclinée sur le coté, les yeux imperceptiblement fermés, Winnie lui demande
- ca vous dirait un plan a quatre?
 

POURSUITE A 1H DU MAT
 
je crois qu'elle fait un footing (à 1h du mat? mais elle porte une robe noire. elle se retourne une fois avant de traverser. puis traverse.
bla bla
je crois qu il fait son jogging (un 2eme?) avec son chient, mais en jeans et pull over?
le chient s arrete avant de traverser, puis file dans une direcdtion. la meme que la fille.
 
Tu es vraiment certain que ce se sont des joggeurs  ?
 
Au resto
 
Un groupe de quatre femmes vient d entrer dasn le 25'EST a midi vingt huit, ce sont surement des collegues de travail, du XXX.
dans leur discution, elle emploi le terme "c'est alzeimer", ce qui est toujours employÈ par les groupes de femmes!
pourquoi?
et aussi: -"oui, moi aussi!"
-ouiii moi aussiii"
-ouiiii, mloi aussiiiii!"
ou alors "Hooo tu as raison..."
 
1ER OPUS (cf guide touristique)
 
Était ce un pressentiment qu'avait Félix ?
On dit que les animaux peuvent sentir une catastrophe naturelle avant qu'elle ne se produise. Bien avant que les moyens humains modernes puissent les déceler. Il est vrai que Félix avait l'habitude, avec sa maîtresse, de subir bien des désagréments. Mais c’était tout autre chose que des catastrophes naturelles avec elle. Son mari, Jules, était d'une extrême patience avec elle. Du coup, il en était devenu extrêmement patient dans tous les domaines.
C’était ce qui pouvait en partie le caractériser, Jules : il était calme. Il ne l'a pas toujours été, mais depuis une trentaine d'années qu'ils vivaient ensembles, avec sa femme, il en avait bien eu à découdre.
« Ca ne te dérange pas, toi, toute cette poussière sur le tableau de bord ?
⁃C'est un peu normal, ma chérie. On est sur cette route depuis une heure. Le sable a bien raison d'en profiter pour s'installer. Peut être que lui aussi veut rentrer avec nous, quand on va retourner en France..
La réponse amusée de son mari ne plut pas trop à Berthe :
⁃Non mais regarde Jules! Y'en a partout. Même dans la boite à gants..c'est pas possible... et là aussi. Regarde !
⁃Mais je ne peux pas, je conduis. Tu t'en occupes très bien ma cherie .
La voiture filait juste à 80, et l'air chaud qui passait par les fenêtres ouvertes était des plus agréable. Et ca plaisait au chauffeur. Comme cette vue sur les palmeraies, magnifique, qui laissaient voir leurs grappes de dattes au soleil. Sur la route, on croisait des mulets qui tiraient des petites charrettes, avec dessus des gamins faisant avancer leur bourriquet à l'aide de baguettes cinglantes. Ils transportaient soit des dattes, à même le plancher, ou de la paille, ou des pierres pour les plus malchanceux des mulets. Les routes, parfois sinueuses, traversaient quelques petits villages fait de maisons en terre et paille. La couleurs des murs coïncidaient avec celle du désert. Partout où les yeux se posaient, il y avait cette couleur sable, le vert des palmes et le bleu du ciel.
Jules s'attendait, à chaque virage, à tomber sur un vélomoteur avec quatre ou cinq passagers ; un troupeau de chèvres monopolisant la route, suivant un vieil homme ; ou encore une femme, un fagot de paille sur la tête, accompagnée de quelques enfants longeant la palmeraie.
Il était aux anges alors que Berthe essayait de nettoyer l’intérieur de la voiture avec son chiffon, quand elle eu l'idée d'enlever la sable sur le levier de vitesse. Sur le frein à main. Et malheureusement « sous » le frein à main.
Félix l'avait senti venir ce coup là. Malgré cela, il fut surpris de la violence avec laquelle la voiture vola dans le décor quand elle souleva le frein pour y passer le chiffon. Il se senti projeté d'un côté, d'un autre puis .. trou noir !
 
Après être sortis indemnes de la voiture, qui se trouvait maintenant en dehors de la route, Jules et sa femme Berthe se serrèrent dans les bras, rassurés qu'ils étaient de s'en être sortis sans casse.
« Sans casse ? Parle pour toi ! Regarde la voiture... toute fichue ! Dit elle, les cheveux n'ayant plus leur belle tenue. Toute écrasée contre cet arbre ! Comment on va continuer ?
Sentant qu'il n'était pas nécessaire de la blâmer, Jules préféra la rassurer. Lui prit le visage dans ses mains : « Ce n'est pas un arbre ma chérie, c'est un Palmier dattier. Et puis on va bien trouver un garage pour ..
⁃FELIX ? Le coupa t-elle : où est Félix ? Mon dieu.. Féliiiiix..... !? Il n'est plus dans la voiture. Où est mon bébé ? Les yeux humides malgré la chaleur de l'après midi, elle se tourna vers con mari. Jules !??? Où est passé Félix ?
 

-------------------------------------------
 

La semaine avait pourtant bien commencée.
La veille, réveil aux chants des PINSONS à l’hôtel Cécile. La vue sur la place Djema el Fna pour ce premier repas de la journée était simplement incroyable. L'hôtel avait offert le petit déjeuner sur le toit à ce couple de francais quinquagénaires, pour leur troisième nuit à l’hôtel. Repas de luxe. CF  ACCORD  AVEC  L'HOTEL (accepte les chiens) ET  TMS !!
A METTRE SUR LE SITE : « MONTREZ LE LIVRE AU RECEPTIONNISTE ET VOUS AUREZ DROIT A LA SURPRISE DECRITE DEDANS. »
 
«  Tu te rends compte ? C'est un bon plan ca. Tu diras merci à la voisine.
⁃Beh oui. Pour une fois que Mme Carré me dit quelque chose d'intéressant. Elle me parle toujours de ses problèmes de transit. Elle me prend pour son médecin des fois je te jure.
⁃C'est parce qu’elle t'aime bien, ma chérie. Ouille c'est chaud !!! dit il en soufflant sur ses doigts. Tu es la seule qui aille voir comment elle se porte, c'est normale qu'elle se confie. Jules revenait quand même à l'attaque de son verre de thé à la menthe brûlant. Le meilleur qu'il n'ai jamais bu.
⁃Tu m’étonnes ! Elle radote de plus en plus et ses enfants viennent de moins en moins la voir. On peut pas l'abandonner c'te pauvre vieille. Enfin ! Toujours est il que si elle ne m'avait pas parlé de ce nouveau guide, ca aurait été quand même différent je pense.
⁃Hmm hmm... hou que c'est chaud !!
⁃C'est son bénévole des Petits Frères des Pauvres qui lui a montré ça sur sa tablette. Je te disait qu'il fallait que l'on s'en achète une ! Et y a d'autres bons plans qui nous attendent durant le voyage je suis sûre.
Jules appréciait le fait d'être sur ce toit, à Marrakech, avec sa femme et se remémorait l'appel à la prière de ce matin. Comme elle s’aperçût qu'il ne l’écoutait pas, Berthe se tut.
Il était tôt encore, mais le soleil commençait à être bien présent et les tentures au dessus de leurs têtes semblaient appropriées.
De sa place en hauteur, Félix pouvait voir les hirondelles passer comme des flèches dans les rues étroites de Marrakech. Elles viraient à angle droit comme des furies en se suivant à quelques centimètres les unes des autres. On aurait dit des avions de chasse. Il remuait la queue prés du visage de sa maîtresse. Les deux pattes avant sur le muret qui donnait sur la rue XXXXXXXXX et les deux pattes arrières sur les coussins qui servaient de sofa aux invités.
⁃Bon sang Félix ! Mets toi bien.. Couché. Et ne bouge plus.
⁃
 




--------------------------------
« Enfin arrivés !
⁃Oui, 2h ce n'est pas la mer à boire, mais voilà enfin l'oasis !
⁃Oasis oasis oh ! Oasis oasis ah ! Laisse sortir Berthe sur un air bien connu, alors qu'elle descend de la voiture, garée à l'ombre sur la place XXXX.
Le moteur n'était pas encore coupé, qu'une mobylette s’arrête à leur coté.
« Bonjour ! Vous cherchez un hôtel ? Vous cherchez un restaurant ? Vous voulez manger le meilleur couscous de tout le sud du Maroc ? Venez venez suivez moi. Suivez moi, je connais l'endroit où vous voulez aller.
Alors que Berthe  ne l'avait pas vu les suivre depuis le pont à l'entrée du village, Jules avait suivi la scène où deux chauffeurs de mobylettes se disputaient le droit d'aborder ces touristes. Notre interlocuteur était donc le vainqueur.
«  Hey ! Bonjour mon ami ! Comment vous vous appelez ? Lui lança t il, comme son sourire, en fermant la portière à son tour..
⁃Mais... !? Tu l'encourages.. arrête Jules ! Il va plus nous lâcher maintenant.
⁃Bonjour, vous êtes français ? Je le savais. Vous êtes de Marseille ? De Toulouse ? J'ai des amis qui vivent à Marseille. Ils s'appellent Jean Marc et Valérie. Ils viennent souuuvent au Maroc ; et ils viennent toujours me voir. Vous avez soif ? Suivez moi, je connais le meilleur restaurant avec le meilleur thé à la menthe du Maroc. Ma parole, vous allez voir.
⁃C'est pas vrai, se dit Berthe, il n’arrête pas !
⁃Berthe, ma chérie, un verre de thé après la route, ca ne se refuse pas !? On allait chercher un endroit où se poser. Voilà tout trouvé !
⁃Je veux pas d'un boui-boui moi, attention.
Jules reposa la même question à leur guide imposé. Il lui répondit qu'il s’appelait comme le roi du Maroc : Mohammed ! Avec presque un « r » entre le o et le a.
« Mohammed ! C'est le nom du prophète aussi, non ?
⁃Tu connais le prophète ? Dit il avec de grands yeux et un grand sourire. Tu sais qui est Mohammed Alayhi Tu connais le coran ? Tu es musulman alors ?
⁃Non, je m’intéresse seulement, lui répondit il amusé de tant d’énergie chez un homme de cet age.
 
alayhi wa sallam
 
Sca
 

- HÈ! moi aussi je detiens un record!
- ha oui? exellent! qu est ce que c est?
- le plus long caca du monde!
soupirs de la table a laquelle se sont enfin joint les derniers invitÈs....
- bein voyons!? pourquoi on n y a pas pensÈ plus tot? j'aurais du anticiper, c est regrettable..
- oui, mais ce n est pas vieux, c'est de ce matin! conclut il avec un grand sourire.
- et tu es fier de toi je suis sur!
 
Traveling the World Zanzibar
 

Zanzibar, constitué de deux îles, Pemba et Unguja, se situe en Afrique de l’est, dans l’océan indien. Le climat y est donc alterné par la saison des pluies, ou de véritables trombes d’eaux envahissent les rues, et la saison sèche, qui permet aux touristes d’investir les lieus.
La vie des locaux y est elle aussi bercée par cette alternance de déluge et de soleil.
En juin, quand le soleil reprend le dessus, on peut encore devoir s’abriter quelques instants sous les devantures des échoppes, mais l’accalmie arrive vite. Et les rues redeviennent également sèches en quelques minutes grâce aux rayons du soleil réchauffant aussi nos peaux trempées. La vie extérieure se fige donc momentanément pour reprendre aussi sec.
Celle de Owayou par exemple, ayant dû protégé ses t shirts aux noms de footballeurs professionnels, destinés aux rares touristes déjà présents à Stone Town, à Zanzibar city, qui se trouve sur Unguja. Il arpente les rues à la recherche de celui qui pourra lui offrir XXX shillings, lui permettant de pouvoir vivre. Comme lui, bon nombres de Zanzibari sont à la recherche du « mzungu », source de revenu pour ces « beach boys ». vendeurs de tshirt, de CD,  dont la fameuse chanson Hakuna matata, « pas de problèmes » en swahili. Toutes les opportunités sont bonnes pour gagner quelque argent près de Forodhani garden. Si pour les beach boys la vue que l on y a n’est guère extraordinaire –c’est vrai que lorsque l on grandit et vit dans un cadre précis, il n a plus le même attrait, surtout lorsque la préoccupation principale est de pouvoir manger le soir même- les touristes trouvent idyllique cet océan limpide qui lèche les remparts longeant les jardins, vue sur le port et ses bateaux typique des îles.
 
Winnie
 

plusieurs scenes decrivant un acte quotidien (pipi, rentrer chez soi dans un long couloir...) bien
dÈtaillÈ, et soudain, faire apparaitre un monstre et le voir tuer le protagoniste!
 
En penssant "qu'on la secoue, ou qu'on l'agite, la derniere goutte est pour le slip!", il dit presque
‡ voix haute " pas pour moi" en sortant un morceau de pq de la poche, et en en dechirant un petit morceau, le pli et s'essuie conscienceusement le bout.
avec le sourire des satisfaits, il s'ettire en levant les epaules etle menton. En ouvrant les yeux il sent son coeur s'arreter, la respiration coupÈe nette. Sa vision est revenue nette illico, immobilisÈ par ses muscles raidis, sa langue meme, plaquÈe contre son palais. Sans meme decrisper ses levres, il croit ressentir de la bave sortant de sa bouche.
Mais ce n'est pas de sa bouche que vient cette amylase salivaire. Ce n'est pas son ADN qui se retrouve dans ce liquide, plus visqueux que le notre. L'espece de bouche d'ou elle s'echappe se trouve terriblement pret de son visage. il s'appercoit tout a coup qu'il peut sentir son haleine. Le spouffle qui l'ammËne est si proche, il se rapproche.
 

n'aura pas eu le temps de cligner des yeux que c'en Ètait fini.
 
certains meurent avece la fleur au fusil, lui sera mort la verge ‡ la main.
BOOK II
MES METIERS, MES PASSIONS :
ACCUEIL
LE MENU DU SITE:
> Tous les posts
> Toutes les vidéos
> Lire les news & les parages
> KDDK, critiques de cafés
 
Vous désirez réagir, me proposer un article, me poser une question :
> Contactez-moi ici
Vous désirez prendre un rdv de coaching :
> Contactez-moi là
A VOUS LA PAROLE
VOIR LES POSTS
En savoir plus :
> Qui est Nathaniel, son C.V.
> Mes valeurs
A PROPOS
> Découvrez "coaching infini"
> Conseils pour bien (se) réaliser
> Découvrez tous mes métiers
> Pourquoi "réfléchir à ses rêves"?
> Quel sont les rêves de Nathaniel?
VOUS AVEZ UN REVE
UN PROJET ... VIVEZ-LE !!
CE QUE JE PEUX APPORTER?
MON EXPERIENCE
Quel est le mode de vie d'un slasheur, et nomade en plus?
> A la découverte d'une nouvelle version de globe-trotter
> Suivez-moi, vraiment!
SLASHEUR  NOMADE ?
MULTI-ENTREPRENEUR LIBRE
accueil slasheur.info
création du site slasheur.info Nathaniel Delétang - 2014-2023 - mentions légales  - notes   
JE SUIS HEUREUX DE VOUS FAIRE PROFITER DE CE QUE JE SAIS FAIRE.
DÉCOUVREZ QUELS SONT LES "ACTIVITÉS" QUI M'ANIMENT :